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Alors que le Dialogue national s’est ouvert dans un climat d’écoute et d’échanges, le message lancé avec force par Malick Fall, représentant de Diourbel, résonne comme un appel direct aux autorités. Il a tenu à faire entendre les préoccupations locales au cœur de cette grande concertation nationale.
« Nous ne représentons aucun parti politique. Nous avons répondu à l'appel du dialogue au nom de Diourbel, pour faire valoir les urgences de notre localité », a-t-il souligné, refusant que ces rencontres soient monopolisées par des enjeux partisans.
Les attentes sont claires : la population veut des résultats tangibles. « Nous attendons de l’État la finition de l’hôtel Baobab, l’un des symboles de nos espoirs économiques. Il faut également intervenir sur l’état catastrophique des routes et résoudre durablement les problèmes d’inondations », a plaidé Malick Fall.
Au-delà des doléances de sa région, il appelle à une approche plus inclusive : « Que l’État prenne en compte toutes les préoccupations des régions et localités du pays, car chaque coin du Sénégal a ses propres urgences. »
