Ils sont très inquiets de leur situation. Ces pères de familles qui ont servi leur pays peinent à avoir une prise en charge au niveau de l'hôpital Heinrich Lübke ainsi qu' à l' infirmerie de l'IPRES de Diourbel.
" L'hôpital refuse de nous prendre en charge. Ils disent que l'IPRES ne verse aucun argent. Également , au niveau de l' infirmerie de l'institut , ils n'ont que du paracétamol. " déplore Abdou Seck, retraité.
Ce dernier ne se limite pas là. Il dénonce les présidents des retraités de Diourbel qui ne se soucient même pas du sort de leurs membres et de révéler" Qu' est ce qu' ils attendent pour organiser un renouvellement du bureau. Leur mandat est arrivé à terme depuis longtemps.
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