Le Burkina Faso est plongé dans l'horreur après des massacres survenus le 5 novembre à Zaongo, dans le centre-nord du pays. Le Procureur Simon Gnanou a annoncé, ce lundi 13 novembre, que ces attaques ont laissé derrière elles un bilan tragique de plus de 70 victimes, principalement des enfants et des personnes âgées, a -t-on lu sur Rfi.
Dans un communiqué officiel, le Procureur Gnanou a déclaré : "Les atrocités perpétrées à Zaongo le 5 novembre ont coûté la vie à 70 personnes, essentiellement des enfants et des personnes âgées." L'ampleur de la tragédie souligne la cruauté de ces actes abominables.
Jusqu'à présent, les auteurs de ces atrocités demeurent inconnus, laissant la communauté locale et les autorités perplexes quant aux motivations derrière ces attaques meurtrières. Les enquêtes sont en cours pour identifier les responsables et faire toute la lumière sur ces événements tragiques.
Le président et les responsables locaux ont condamné ces actes barbares, exprimant leur solidarité envers les familles endeuillées et assurant que toute la lumière serait faite sur cette tragédie. La sécurité dans la région reste une préoccupation majeure, et des mesures sont envisagées pour renforcer la protection des communautés vulnérables.
La population burkinabè et la communauté internationale suivent de près l'évolution de la situation, espérant que justice soit rendue rapidement et que des mesures concrètes soient prises pour prévenir de futurs actes de violence inhumaine.
baoltimesnews - %Moise
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