Le nouveau ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, le général de Corps d’Armée Jean Baptiste Tine, est interpellé. Les nouveaux entrants n’ont pas encore bénéficié de cours à l’École Nationale de Police. Et pour cause, souligne Le Témoin, la direction de l’école de formation fait face à un « imbroglio réglementaire ».
Un blocage entraîné, avance le quotidien d’information « par le recrutement de 3000 éléments par l’ancien régime pour relever le défi du ‘’gatsa gatsa’’ et faire face aux velléités insurrectionnels des jeunes ‘’patriotes’’ ».
Parmi lesquels figurent, à côté des élèves flics régulièrement enrôlés à l’issue d’un concours direct, « les policiers auxiliaires volontaires » (PAV). Selon la source, « il s’agit d’anciens militaires qui devaient intégrer l’École nationale de police pour y être formés », souligne la source. Ce qui est contraire à la loi qui régit la Fonction publique, fixant la limite d’âge à 35 ans.
Or, « les PAV ont été recrutés à 36, 37, 38, 39 et même 40 ans », avance Le Témoin. Qui affirme que la gendarmerie a su éviter le piège « en refusant de prendre des GAV (gendarmes auxiliaires volontaires » mais retenu des auxiliaires.
seneweb
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