Accusé de viol par une jeune femme, le défenseur du PSG, Achraf Hakimi, a été mis en examen ce vendredi. De leur côté, les enquêteurs poursuivent leurs investigations.
Au Paris Saint-Germain, il ne se passe pas une semaine sans que les journaux n’est quelque chose à en dire. À moins d’une semaine d’un décisif huitième de finale retour de Ligue des champions face au Bayern Munich (le 8 mars), c’est une tout autre nouvelle qui a fait la Une. Accusé par une mystérieuse jeune femme, Achraf Hakimi a été mis en en examen pour viol ce jeudi. Présumé innocent, l’international marocain a immédiatement indiqué, par la voix de son avocate, qu’il restait « serein » face à ce qu’il considère être « une tentative de racket« . En parallèle, les enquêteurs poursuivent leurs recherches et doivent encore éclaircir plusieurs zones d’ombre.
Dans son édition de samedi, L’Équipe fait un point sur l’avancée des investigations. Le quotidien sportif explique par exemple que les policiers ont en leur possession le fil de discussion sur lequel les deux protagonistes ont échangé. Mais les enquêteurs ont également mis la main sur une deuxième conversation, cette fois entre l’accusatrice et celle qu’elle aurait appelée à l’aide pour venir la chercher chez Achraf Hakimi le 25 février dernier, date du viol présumé. Le média indique que « selon des sources concordantes, le contenu de ces messages, notamment certains qui ont été échangés avant la rencontre samedi soir, apparait beaucoup plus opaque aux enquêteurs« .
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